Le défenseur international malien, Fousseni Diawara ( 32 ans, 44 sélections) a rejoint le FC Tours ( L2 Française).Libre de tout contrat après deux dernières saisons passées en Ligue 1 à l’AC Ajaccio, « Fouss » s’engage pour deux saisons.
« Je ne voulais faire pas faire signer « Fouss’ » parce qu’il vient d’Ajaccio, même si on est content de se retrouver et de travailler ensemble, mais parce que c’est l’opportunité pour Tours de recruter un joueur d’expérience, à la mentalité exemplaire » a déclaré Olivier Pantaloni, le nouveau coach tourangeau, qui l’a connu à l’AC Ajaccio.
En effet, Fousseni Diawara comptabilise plus de 200 matchs en professionnel dont 130 en Ligue 1. Il évolue au poste de latéral droit mais il peut également évoluer dans l’axe de la défense. Son leadership servira aussi dans le vestiaire.
« Je suis le plus ancien de l’effectif, et je me dois de montrer l’exemple, d’encadrer les plus jeunes. Ce qui passe d’abord et avant tout par une attitude sur le terrain, un état d’esprit de vainqueur. J’ai connu une montée en Ligue 1 avec Ajaccio, et aussi deux saisons avec un maintien à la clé, ce qui n’était pas simple. Dans tous ces cas-là, il faut de la solidarité et de l’engagement» a déclaré Fousseni à son arrivée au club sur le site web lanouvellerepublique.fr
Fousseni Diawara est l’a compris: il sera le pilier du nouveau projet du club Touangeau où a evolué jadis plusieurs maliens dont notamment Teneman N’Diaye, Sigamary Diarra, Cheick Omar Dabo, David Coulibaly.
« J’aime les challenges et celui du Tours FC en est un beau. L’objectif est de construire une équipe qui jouera la montée dans les saisons à venir, ça me parle. Il y a de très bons jeunes, des infrastructures au-dessus de la moyenne pour la Ligue 2 et donc tout ce qu’il faut pour bien travailler. Je n’ai pas beaucoup réfléchi quand Olivier m’a appelé. On a un rapport de confiance, très professionnel, et il me connaît très bien. Même avec la situation qui n’était pas éclaircie du club à ce moment-là, mon choix de rejoindre Tours était fait. Il y a de l’avenir ici, j’en suis certain. » termine Fousseni Diawara.